Et encore une critique censurée sur Alloci**, une ! C’est d’ailleurs pour ça que j’ai migré chez les anars laxistes de SensCritque – je vous aime Senscritiqueux, ne changez rien à votre politique de modération ! Je n'insultais pourtant personne, j'employais juste un mot d'argot dont je ne savais pas qu'il pouvait choquer les âmes sensibles coincées [entre temps, la critique initiale parue sur Allocinurss remontant à quelques années, j’ai complètement oublié le terme litigieux en question. Mais il ne devait pas être bien méchant, je suis quelqu’un de sensible et de respectueux].
Bon, donc, pour en revenir à Paris à tout prix, c'est clairement un film de filles pour les filles. C'est le bon vocable là ? ça va ? Ah non, en 2019 même « filles » parait que c’est sexiste, je l’ai lu dans une affiche de sensibilisation à la cafétéria. La prochaine fois qu’une de mes collègues balance un "bon week-end les garçons", je l’attaque pour harcèlement sexuel.
Euh, j'en étais où déjà ? Ah ouais, donc l'idée de départ est assez rigolote mais complètement sous-exploitée. Malheureusement, les auteurs ont préféré emprunter les chemins ultra-balisés, même s'ils arrivent à semer par-ci par-là quelques scènes bien senties et rigolotes. Cela dit, la bonne humeur agaçante de la réalisatrice / actrice principale (qui se filme beaucoup...Maiwenn, sors de ce corps) est assez communicative.
Un peu de mépris de la beure parisienne pour les blédards restés au pays ? Bah, oui un peu quand même, malgré quelques scènes marocaines qui tentent de faire illusion et d'apporter de "la nuance", comme on dit.
le petit point cancel culture
Ce mépris pour ses origines de la beure complètement francisée… Moins cinquante points Houria Bouteldja.