Après New York 1997 et Los Angeles 2013, il y a donc Busan 2020, un signe que si la géopolitique a changé, l'enfermement a toujours la côté.
Point de dignitaire à sauver, c'est cette fois pour l'argent et pour tenter de maintenir en vie son beau-frère, que le héros accepte d'entrer dans un territoire interdit où des bandes organisées font la loi tout en évitant de se faire dévorer par des zombis.
J'ai une grande tendresse pour le cinéma de Carpenter et pour New York 1997 en particulier, donc ce film m'a plu. Yeon Sang-Ho aime le cinéma de genre et ça se voit. Il déteste aussi se répéter et c'est tout à son honneur de ne pas céder aux fans qui attendaient le retour du dernier train.