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Comme le dit Frustration Magazine, Perfect Days est l'exemple parfait du "Bourgeois Gaze", c'est-à-dire de production d'un regard bourgeois sur le monde. Hirayama est un faux prolo heureux. Et c'est bien le problème. Le film tente de dire que le bonheur est à portée de main, et que la condition sociale, comme la banalité n'ont pas d'importance. Hirayama n'a pas mal au dos, n'a pas les mains rongés par les détartrants. Il philosophe et poétise en nettoyant la merde des chiottes. La poésie plutôt que la révolution ! Wenders se fout de nos gueules !
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Créée
le 18 mars 2024
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