Tout au long du film je me dis « bon, rien de nouveau sous le soleil ». Puis je pense « c’est fou, peut être qu’à l’époque c’était hyper nouveau d’aborder le dédoublement de la personnalité chez les meurtriers et par la même, de la nécessité d’envoyer ces personnes en hôpital psychiatrique plutôt qu’en prison. Les prisons sont surchargées de malades qui devraient être dans des hôpitaux psychiatriques ». En bref, je réfléchis, je pense donc j’écoute à moitié ce film qui me paraît plutôt bof.
Et la … toute fin, je comprends tout. J’ai été bernée alors que je m’attends toujours à la fin du film au début. D’ailleurs ce film prend vraiment trop le spectateur par la main alors que tout est déjà évident avant même que les acteurs ne découvrent ce qu’ils découvrent. D’où la lenteur et l’ennui … mais cette fin …! Innatendue. Cette fin m’a convaincu, juste pour sa surprise.
Mais peut être que j’étais juste fatiguée, et que c’est pour ça que j’ai pas vu venir la fin.
(De toute façon, ma note sur chaque film peut changer en fonction des conditions dans lesquelles je le regarde. Ce mercredi soir, ça vaut un 8, juste pour la fin donc).