Sanglante balade prénatale
Une femme seule, schizophrène et enceinte jusqu’aux yeux semble obéir aux injonctions criminelles de son fœtus lors d’un itinéraire assassin jalonné surtout d’hommes, qu’ils perçoivent...
Par
le 27 nov. 2017
1 j'aime
Euuuuuh… Je crois voir quel créneau le film s’est essayé de prendre : une sorte de trip cru et viscéral, sur une thématique malaisante. Seulement voilà, il ne faut pas longtemps pour se rendre compte que le film n’a rien à dire ni à montrer à part des scènes d’exécutions sommaires. Elles s’enchainent rapidement comme à l’abattoir. Une sorte de porno de l’hémoglobine. Alors certes, l’outrance au bon d’un moment devient drôle tellement elle est ridicule, mais à force de répétition elle est juste lassante et pathétique. Bref, « Prevenge » pour moi passe totalement à côté de sa volonté de subversion et de jouissance régressive. Il manque clairement beaucoup trop de talent et de contenu pour éviter le bide. Franchement, désolé pour Alice Lowe, mais son film, il fleure quand même bien le nanar…
Créée
le 17 janv. 2019
Critique lue 290 fois
D'autres avis sur Prevenge
Une femme seule, schizophrène et enceinte jusqu’aux yeux semble obéir aux injonctions criminelles de son fœtus lors d’un itinéraire assassin jalonné surtout d’hommes, qu’ils perçoivent...
Par
le 27 nov. 2017
1 j'aime
Le titre du film (très série B ou Z) et son affiche (avec toutes ces citations dithyrambiques) laissent augurer d'une comédie noire et jouissive. Prevenge est plutôt réussi dans son genre, mais ce...
Par
le 16 sept. 2017
1 j'aime
Un petit ovni horrifique vraiment original, réalisé, écrit et joué par Alice Lowe ! Le thème du bébé tueur traité comme vous ne l'avez surement jamais vu.
le 6 avr. 2024
Du même critique
Il y a quelques semaines de cela je revoyais « Inception » et j’écrivais ceci : « A bien tout prendre, pour moi, il n’y a qu’un seul vrai problème à cet « Inception » (mais de taille) : c’est la...
le 27 août 2020
238 j'aime
80
Et en voilà un de plus. Un auteur supplémentaire qui se risque à explorer l’espace… L’air de rien, en se lançant sur cette voie, James Gray se glisse dans le sillage de grands noms du cinéma tels que...
le 20 sept. 2019
207 j'aime
13
Avatar premier du nom c'était il y a treize ans et c'était... passable. On nous l'avait vendu comme l'événement cinématographique, la révolution technique, la renaissance du cinéma en 3D relief, mais...
le 14 déc. 2022
161 j'aime
122