Et s’il avait finalement fallu attendre que Disney revienne à ses origines pour qu’ils retrouvent des couleurs ? C’est ce que semble vouloir dire Raiponce…
Raiponce, depuis tout jeune, à été enfermée dans une tour. Mais elle n’en a pas conscience car tout cela est caché par de « bonnes intentions ». Elle a de longs cheveux blonds aux particularités étonnantes. Elle va, un jour, décidée de quitter la tour et partir à l’aventure avec un voleur…
Retour aux fondamentaux donc avec l’adaptation d’un conte bien connu, des chants, et un style visuel qui, certes, est passé à la 3D mais rappelle largement les oeuvres 2D d’antan. Féérique, coloré, lumineux, le film ne laisse que peu de place à un côté sombre. Ce sera d’ailleurs une différence par rapport aux autres films cultes du studio. Ce choix de ne garder que peu de moments « dur ». Pas de quoi, cependant, trop se plaindre tant on retrouve ici une partie du coeur du studio. De ce qu’ils avaient à l’original. Avec une princesse cependant bien moins passive.
Ce qui ne l’empêche de livrer une scéne quasi parodique en début de film, dans lequel on voit presque un remake de Blanche Neige. Pour mieux la détourner ensuite et faire évoluer son personnage ver une héroïne plus impactante. Le résultat de tout cela est une évolution positive, à défaut d’être novatrice ou marquante, pour être au final un film réussit de l’histoire du studio aux grandes oreilles…