That’s too big for me
La population masculine s’est muée en pervers sexuels qui agressent les femmes tokyoïtes suite à une attaque nucléaire.
En préambule, je préciserais que ce n’est pas un film pornographique ; d’ailleurs, il y a un plan acrobatique qui occulte une fellation pour qu’aucune verge ne soit visible, mais elle est bel et bien suggérée. Pour quelle raison visionner cela si ce n’est pour l’onanisme ? J’ai cru que j’allais me boyauter (pour m’accorder du crédit, je dirais que c’est physiquement impossible pour moi la première option). Il avait des allures de pamphlet virulent contre le comportement phallocrate des mâles contemporains avec cet humain (donc pas un zombie) qui viole son épouse, mais les dialogues ineptes et les scènes de sexe affluant, je me suis rendu compte qu’il s’agirait d’un simple film érotique nippon. Le scénario est itératif, les personnages sont fades et les effets spéciaux sont médiocres. En sus, il y a la conventionnelle séquence saphique.