Jurassic Park, Harry Potter, Star Wars … Voici de nombreux titres qui vous sont sûrement familiers. Des grands classiques du cinéma qui ont assurément marqué leurs époques et leur générations. Mais cependant, au fil des années, ces derniers sont devenus bien plus que des piliers du cinéma, mais bien des arguments marketings de grandes envergures. C’est pourquoi ces licences devenues cultes reviennent petit à petit dans nos cinémas pour rassasier notre faim de nostalgie. C’est donc sans grand étonnement que Star Wars 7 : Le Réveil de la Force et Star Wars 8 : Les Derniers Jedi ont tout deux dépassé le milliard de recettes au box-office mondial. Et cela n’a rien d’étonnant. En effet, le grand public ne se refusera jamais un retour temporaire dans le monde qui l’a fait tant rêver durant sa jeunesse, c’est pourquoi chaque sortie ou chaque nouvelle adaptation d’un des grands classiques de la culture pop est toujours un phénomène mondial. Cependant, à part quelques exceptions, la qualité passée n’est pas souvent au rendez-vous ( Exemple : Indiana Jones et le Royaume du crâne de Cristal ). Mais quelle importance, vu qu’il est assuré que ce genre de films cartonnent et découlent sur des milliards de revenus ?
C’est pourquoi quand Ready Player One a été annoncé, la majorité d’entre nous avait logiquement le droit de ressentir de fortes appréhensions vis à vis d’un film qui se présentait comme être la réunion d’une multitude de personnages iconiques de la pop culture ( voir même de la culture moderne ). De plus, le film n’est pas un long métrage original mais bien l’adaptation du roman Player One d’Ernest Cline paru en 2011, ce dernier composé de plus d’une centaine de références cinématographiques. Cependant, un détail pouvait faire disparaître ces appréhensions. Ce dernier s’appelle Steven Spielberg et nous tenons rapidement à vous rassurer, avec Ready Player One, Spielberg reste bien le Number One.
En effet, Ready Player One est avant tout une grande réussite grâce à la patte Spielberg. Ce dernier nous propose un spectacle de sons et lumières sans se donner la moindre limite. Avant d’être un film, Ready Player One est avant tout le terrain de jeu de Spielberg où celui-ci s’en donne à cœur joie pour nous proposer sûrement une des ses plus belles créations. Une scène de course endiablée où des plans de caméras novateurs à ras du sol nous font ressentir des émotions intenses, une scène inoubliable en hommage à un grand nom du cinéma … Vous l’avez compris, durant près de 2h20, le spectateur est plongé dans un univers coloré qui ne pourra indéniablement pas le laisser indifférent. De plus, la playlist musicale de Alan Silvestri ( Retour vers le Futur ) rythme l’intégralité du film en adoptant des sonorités mélangeant la musique pop et l’électro, ce qui convient parfaitement à un film comme Ready Player One qui a pour principal objectif de nous faire sourire en réveillant en chacun de nous notre madeleine de Proust. Car si Steven Spielberg a tout de même voulu présenter à l’écran de nombreuses références de la culture geek ou même de la culture pop, c’est avec habileté qu’il réussit à éviter les mêmes erreurs que ses prédécesseurs en tombant dans une sorte d’abus juste pour faire briller les yeux de ses spectateurs. Dans une interview pour le journal Konbini, Spielberg s’est exprimé à ce sujet en clarifiant le fait que d’après lui, « Tout a une importance relative. Dans un sens, je pense que nous avons mis assez de références culturelles dans le film, qu’elles n’ont pas sauter aux yeux de tout le monde et qu’il n’est pas nécessaire de les reconnaître. Ce n’était pas important que tout le public identifie chaque référence culturelle. ». C’est donc avec brio que le réalisateur des plus grands titres de l’histoire du cinéma relève un défi qui pour la majorité des critiques, était perdu d’avance.
Cependant, même si Ready Player One reste un film d’une grande qualité esthétique, des choix scénaristiques pourront faire logiquement grincer des dents comme par exemple avec une morale de fin qui privilégie la réalité, celle-ci s’opposant donc totalement à l’intégralité du film qui avait pour but de nous montrer un Oasis qui, malgré ses quelques attraits qu’on peut facilement qualifier de maléfiques, avait tout bonnement l’image d’un monde où chacun a fortement envie de s’installer. Connaissant le côté « geek » du réalisateur, on peut donc être logiquement déçu de ce choix scénaristique. Enfin, le second point faible que l’on pourrait trouver à Ready Player One réside dans ses personnages. En effet, même si les performances d’acteurs sont tout à fait respectables, Tye Sheridan, Olivia Cook et les autres se font presque éclipser par les autres points positifs du film cités au-dessus. Ready Player One joue donc la carte de l’émerveillement au lieu de favoriser le développement de ses personnages et de son histoire. Néanmoins, ces quelques points négatifs ne viennent pas perturber le grand spectacle proposé par Spielberg.
Cependant, même si Ready Player One reste un film d’une grande qualité esthétique, des choix scénaristiques pourront faire logiquement grincer des dents comme par exemple avec une morale de fin qui privilégie la réalité, celle-ci s’opposant donc totalement à l’intégralité du film qui avait pour but de nous montrer un Oasis qui, malgré ses quelques attraits qu’on peut facilement qualifier de maléfiques, avait tout bonnement l’image d’un monde où chacun a fortement envie de s’installer. Connaissant le côté « geek » du réalisateur, on peut donc être logiquement déçu de ce choix scénaristique. Enfin, le second point faible que l’on pourrait trouver à Ready Player One réside dans ses personnages. En effet, même si les performances d’acteurs sont tout à fait respectables, Tye Sheridan, Olivia Cook et les autres se font presque éclipser par les autres points positifs du film cités au-dessus. Ready Player One joue donc la carte de l’émerveillement au lieu de favoriser le développement de ses personnages et de son histoire. Néanmoins, ces quelques points négatifs ne viennent pas perturber le grand spectacle proposé par Spielberg.
Cependant, même si Ready Player One reste un film d’une grande qualité esthétique, des choix scénaristiques pourront faire logiquement grincer des dents comme par exemple avec une morale de fin qui privilégie la réalité, celle-ci s’opposant donc totalement à l’intégralité du film qui avait pour but de nous montrer un Oasis qui, malgré ses quelques attraits qu’on peut facilement qualifier de maléfiques, avait tout bonnement l’image d’un monde où chacun a fortement envie de s’installer. Connaissant le côté « geek » du réalisateur, on peut donc être logiquement déçu de ce choix scénaristique. Enfin, le second point faible que l’on pourrait trouver à Ready Player One réside dans ses personnages. En effet, même si les performances d’acteurs sont tout à fait respectables, Tye Sheridan, Olivia Cook et les autres se font presque éclipser par les autres points positifs du film cités au-dessus. Ready Player One joue donc la carte de l’émerveillement au lieu de favoriser le développement de ses personnages et de son histoire. Néanmoins, ces quelques points négatifs ne viennent pas perturber le grand spectacle proposé par Spielberg.
Cependant, même si Ready Player One reste un film d’une grande qualité esthétique, des choix scénaristiques pourront faire logiquement grincer des dents comme par exemple avec une morale de fin qui privilégie la réalité, celle-ci s’opposant donc totalement à l’intégralité du film qui avait pour but de nous montrer un Oasis qui, malgré ses quelques attraits qu’on peut facilement qualifier de maléfiques, avait tout bonnement l’image d’un monde où chacun a fortement envie de s’installer. Connaissant le côté « geek » du réalisateur, on peut donc être logiquement déçu de ce choix scénaristique. Enfin, le second point faible que l’on pourrait trouver à Ready Player One réside dans ses personnages. En effet, même si les performances d’acteurs sont tout à fait respectables, Tye Sheridan, Olivia Cook et les autres se font presque éclipser par les autres points positifs du film cités au-dessus. Ready Player One joue donc la carte de l’émerveillement au lieu de favoriser le développement de ses personnages et de son histoire. Néanmoins, ces quelques points négatifs ne viennent pas perturber le grand spectacle proposé par Spielberg.
Ready Player One répond donc aux attentes du grand public, toujours friand de références à leurs classiques favoris. Grâce à ce nouveau long métrage, Steven Spielberg vient donc faire taire les quelques critiques sur sa personne tout en venant montrer une nouvelle fois sa domination sur le monde du cinéma. Alors, avant d’être un bon film de divertissement pour petits et grands, Ready Player One est une leçon de cinéma qui n’a pour but principal que de nous émerveiller.