Back to the 80's.
D'un blockbuster mettant en scène des robots boxeurs devant la caméra endormie de Shawn Levy ("Treize à la douzaine", "La nuit au musée"... que des chefs-d'oeuvres), on pouvait absolument tout...
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le 13 mai 2012
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2
Ah ce film !
Un cas d'école pour pétomane averti !
Voici les ingrédients :
- un mec bodybuildé, beau gosse, un peu rochon mais avec un coeur gros comme ça
- une bonne copine qui balance du sermon en rafale, bien potiche et qui remue bien du cul
- des méchants avec des sourcils qui froncent, qui adorent la thune et qui ont les cheveux en pique
- des robots avec des armures arc en ciel
- une photographie dégueulasse
- une musique bien grasse
Et le principal :
- un gamin haut comme trois pommes mais qui sait déjà tout de la vie, qui joue aux psychologues avec ses parents, qui bricole, qui a une coupe de cheveux classe, qui est tellement choupinou et qui connait à l'avance le script
Vous mélangez bien fort pendant plus de deux heures (!) et vous obtenez :
un pet monstrueux, fortement typé colique avec penchant vaseux qui vous rassura sur la capacité hollywoodienne à reconcilier des familles qu'on a envie de flinguer, à dire que l'argent c'est mal, que les femmes ne sont que les faire valoir des hommes et qu'avec de la bonne volonté, un sourire niais et un gamin tête à claque, vous décrochez la lune !
Nauséabond !
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Le cycle du pet, Le cycle du n'importe quoi et 2015, c'est vu
Créée
le 11 avr. 2015
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