Sans rire, heureusement que le ridicule ne tue pour son auteur, l'histoire est tellement pathétique ! De l'accident à la question du don d'organe c'est superficiel, vraiment si des adolescents qui se cherchent encore ont pleuré pour cette histoire il ne faut pas d'étonner que ce livre sorte du lot, alors qu'il ne devrait pas.
La littérature a atteint ici son stade final: la philosophie de comptoir.
Écrire et juxtaposer des idées sans but à travers des champs lexicaux censés vous mettre la larme à l’œil, Maylis aurait mieux fait de rester au Havre et de se rendre utile pour la société.
Franchement il n'y a rien d'autre à ajouter, c'est bientôt Noël et ma cheminée va avoir de quoi bruler pour me chauffer.
Maylis, inutile d'essayer de faire un équilibre stylistique, on est écrivaine ou on ne l'est pas. Ciao.