Une maman malade effectue un chantage à des enfants : ils doivent concocter un dessert sucré et, en échange, elle déverrouillera la télévision. Ils vivront des aventures hautement rocambolesques.
Le métrage, doté d’une créativité inouïe, se conforme à la vision d’un conte de fées. Weston Razooli déploie une fantaisie juvénile formidable qui redonne sens au terme "merveilleux". Le film à hauteur ingénue d’enfants parvient à ne jamais verser dans le pastiche, mais à être un hommage, par exemple aux Goonies. L’œuvre pioche énormément dans le principe du jeu vidéo en faisant rechercher une ressource, dû à un manque de financement, celle-ci est un vulgaire œuf et ce sont des lieux accessibles au vulgum pecus. Bref, une précieuse pépite du cinéma indépendant.