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Dans l'impossibilité de raconter naivement une histoire trop connue, Reynolds a fait son choix. Varier le ton. Les séquences d'ouverture sont brutales et cruelles, l'arrivée en Angleterre est lyrique à souhait, et les scènes d'action, brillantes, alternent avec des moments parodiques. Le coté méchant d'opérette du chérif par l’excellent Alan Rickman et de ses sbires est particulièrement savoureux. Un grand show ludique, un peu approximatif plastiquement, mais mené tambour battement.
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Créée
le 9 mars 2016
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