Bon bah voilà. Quand j'étais p'tit, les films cacastrophes, c'était la classe. Pas parce qu'ils étaient mieux hein, un film catastrophe est un film catastrophe après tout. Juste parce que j'étais p'tit quoi : y'a tout qui tombe partout, ça brûle, ça pète, ça inonde, c'est cool ! Pis même y'a des morts, même y'a des trucs rayés d'la carte, c'trop fun. J'avoue que plus de 25 ans plus tard, c'est moins la classe les films cata.
'fin j'dis pas, y'en a qui sont potables, qui se laissent regarder. J'ai plus les noms en tête mais me souviens en avoir vu des qui restaient divertissants ma foi. Là... là y'a rien. Ou plutôt y'a tout : tous les clichés possibles - non non non, et non, je ne perdrais pas mon temps à en faire la liste !!! Ajoutez à ça que le haricot vert brûlé que j'ai ramassé dans mon potager avant-hier possédait plus de charisme que chacun des acteurs réunis, et vous obtenez le moisi final qui sert de "film".
Aller va, inutile d'en parler plus longtemps. Je ferais même l'impasse sur la blague du genre "C'est plus qu'un film catastrophe ! C'est un film catastrophique !". Bon ok j'ai pas fait l'impasse du coup, mais c'était nécessaire, ça me soulage un tantinet.
1/10 pour deux raisons :
- D'abord parce que je peux pas mettre zéro, c'est techniquement pas possible ici pour ce que j'en sais,
- Ensuite (et parce qu'il me faut du coup trouver une raison pour ce point glané) pour les beaux yeux de Alexandra Daddario, seule satisfaction (les yeux hein, juste les yeux !) de ces deux heures perdues.