Je ne vais rien vous apprendre, la bande-annonce parle d'elle-même. Si vous ne supportez pas l'odeur de la destruction, ni les bruits de la désolation et encore moins l'idée que «impossible is nothing in america», vous repartirez alors bredouille.
Vide intersidéral, forcément, que ce soit du côté du scénario ou des acteurs.
On doit se contenter de ces images de fin du monde et des muscles de Dwayne "The Rock" Johnson qui s'improvise en super-pilote mais aussi en super-papapoule.
Il y en aura bien un pour s'exciter sur la prétendue qualité des CGI ou d'autres qui vanteront ce film pour le divertissement qu'il offre, mais tout cela s'avère inoffensif.
La fierté américaine, elle est plus forte que tout, mais surtout plus forte que toi.
Gravitant autour du sensationnel cinématographique, celui-ci a encore de beaux jours devant lui grâce au tsunami que représente le grand public et encore plus si des groupies comme moi se précipitent pour voir le seul, l'unique, THE ROCK !!