On retient de ce film le jeu très naturel de Sandrine Bonnaire car la sobriété de la réalisation d'Agnès Varda si elle sied bien au film a cependant ses limites, le style documentaire de Sans toit ni loi enlève toutes émotions au récit.
Le début du film dans sa narration est assez décousue, on rentre malgré tout dedans et on suit le parcours chaotique d'une marginale pas forcément attachante mais dont la vie sans but nous attriste, elle est loin d'être libre contrairement à ce qu'elle croît ; la dernière scène est vraiment triste.