quoi il faut écrire, quoi penser ! Être le mouton tu aimes ?! Avec le troupeau de beeeehhhhh, beehhhhhhh, COÑO !! *tape sur la table*
Tu bosses huit-dix heures te crevant le cul, tu reçois rien ! Rien il est à toi ! »
Classiques ?
Mais diable! Qui parle là-bas ?!
Attendez..
Vous dîtes benoîtement .. : « Classiques » ?
Hm...
Oui *sourire rieur*, ces lignes de dialogues sont classiques. Classiquement classiques.
Cultement cultes même et j'en ferai pas une troisième. Brossez-vous, dis! C'est marqué dans le pseudo après tout !
Donc oui, Tony Montana m'a eu moi aussi, être le mouton je aime.
Bah oui mais à ce train-là, avec autant de répliques légendaires, avec autant de flow, avec autant de gomina, avec autant d'armes à feu, avec autant de cigares, avec autant de costards pimpants, avec autant de poudre, avec autant de chivatos tueurs dans ta maison, avec autant de Push It to the Limit, avec autant d'accents cubains douteux, avec autant de tronçonneuses, avec autant de billets verts et avec autant de mégalomanie ; et bien on a ?
Un grand film.
Quoi qu'on en dise, quoi qu'on en pense, Scarface est là, là pour toujours.
Actuellement actuel : trois zéro.
Pour arrêter dans le cryptique, je voudrais simplement m'adresser aux quelques loups hésitants, tâtonnants avant d'entrer en Scarfacephilie, car oui c'est une maladie, bénigne heureusement, une maladie quand même.
Du haut de mon corps tenu par mes pieds, je me demande qui peut bien résister au sourire divin d'Alejandro Sosa.
« Ne m'encule pas Tony. Conseil d'ami ne m'encule pas. » Si seulement.
Quel homme n'a ne fût-ce qu'une seconde éprouvé l'irrésistible envie d'être cet Antonio Montana ?
Juste pour dire, plein comme un sac des eaux rouges de Bacchus et de la craie blanche de Pablito : « Vieille fiotte de mes deux couilles !!! » / « Vieille pute protestante ! » / « Si je bouffe le cul d'une fille ça fait pas la balafre *sourire en coin et yeux malicieux* »
C'est grandiose, c'est aussi ça Scarface.
Le choix et l'agencement des mots, en un mot comme en dix : de la poésie.
À voir et à re-voir avec petits et grands, autour d'un bon sachet de farine Francine.
Pour faire des gâteaux.
Oui.
P.S : enfant j'ai été traumatisé (en bien, je crois) par GTA Vice City, plus tard j'ai compris qui l'avait enfanté.
Quelle vie.