Ah ce bon vieux Randolph Scott, ça faisait longtemps... Et il n'a pas changé, toujours aussi inexpressif et fade comme un légume vert.
Mais l'avantage quand on est transparent, c'est qu'on ne gâche pas un film. Et d'ailleurs tant mieux, vu que celui-là est vraiment chouette.

Gros point fort : le scénar. Vraiment intelligent, et surprenant. Je ne rentre pas dans les détails, 1 parce que suis trop feignant, 2 pour éviter tout spoilage.

Excellent Lee Marvin (au magnétisme sexuel assez prononcé), ce qui ne fait que confirmer que dans un Budd Boetticher les seconds rôles prennent le pas sur le premier (et bim encore pour ta tronche Randolph).


PS : Le titre english, Seven Men From Now, moins explicite que celui en français, est plus raccord avec le film, tout en subtilité, ellipses et non-dits.
Pruneau
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le 27 oct. 2012

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