Dans la lignée de son prédécesseur, Sin City: J'ai tué pour elle nous replonge de façon ultra graphique dans l'univers créé par Frank Miller. Abandonné par Tarantino, Robert Rodriguez reprend les codes qui ont fait leurs preuves.
Peut être corrélé au déroulé des BDs (que je n'ai pas lues), ce second opus est un peu redondant, et manque peut être d'un méchant doté de la même folie que Kevin pour que j'offre la même note qu'à son grand frère.
Mais la recette reste bonne, entre l'univers sombre et très graphique toujours aussi atypique, et la narration qui a déjà fait ses preuves, ces deux films sont une oeuvre interessante du paysage cinématographique des années 2000-2010.