Quel flamboyante musique de Danny Elfman! Il s'agit sans doute de l'une de ses plus puissantes partitions.
Elle accompagne un passionnant thriller à l’esthétique somptueuse. Même l'horreur y est presque agréable à observer, tant la couleur du sang est mise en valeur..
Chaque plan est un tableau où la lumière qui contraste avec l'obscurité joue un grand rôle.
Un second degrés réjouissant ponctue l'aventure et l'horreur.
Mais il n’empêche nullement l'ampleur sombre et mystérieuse du conte du Cavalier sans tête.
Relayé par un excellent casting, Tim Burton, au sommet de son art, nous offre un merveilleux cauchemar.