Smile avait été une bonne surprise et cette suite perfectionne encore son concept même si on pourra lui reprocher de n'être finalement qu'un semi décalque du premier se lâchant complétement sur les délires hallucinatoires de sa protagoniste (Noami Scott, excellente en pop star paumée). Si sur le fond, on est sur des rails, Il faut saluer les idées de mise en scène vraiment déstabilisantes et sadiques d'un Parker Finn qui maintenant maîtrise complétement son rythme et ses effets par rapport au premier opus. Bref, Il a tout pour devenir un grand. S'il n'est pas dévoré par les exécutifs aux sourires carnassiers d'Hollywood