Personnages, histoire et rebondissements en roue libre, forme léchée, le tout sans queue ni tête (mention spéciale aux 2 scènes de fins,
la scène de danse qui nous arrive là, et où il se passe des trucs aussi réalistes et compréhensibles que le reste, et la superbe camionnette volante, qu'on croirait tout droit sortie de Explorers...).
Nan, franchement, chouette, Richard Kelly s'est sûrement pris le melon avec le buzz Donnie Darko (mérité) et arbore fièrement un objet non-sensique (ou alors, c'est du méta-cinéma, mais c'est bon, j'ai une ordonnance de mon médecin, j'ai le droit d'être allergique).