Spider-Man: No Way Home, c’est en progrès comparé aux deux précédents. C’est toujours loin d’être parfait ou même très bon mais ça a le mérite d’être un peu plus qu’un simple divertissement rempli de fan-service. C’est très difficile de donner un avis sans rentrer dans des gros spoilers bien sales, mais globalement, on sent que certains défauts des films d’avant ont été compris, même si la façon de les corriger est bien vénère et amène à des incohérences. ENFIN, je suis un petit peu attaché émotionnellement au Spider-Man de Tom Holland, et bon dieu après 5 films dont 2 où il est le héros principal, c’était pas trop tôt. Comme quoi, zapper l’origin-story de Peter dans Homecoming n’était pas une si bonne idée que ça, car j’aurais aimé être attaché à lui plus tôt. Mieux vaut tard que jamais je suppose ? On a quelques beaux plans et des belles scènes dans ce No Way Home, là aussi en progrès comparé à avant, mais ça manque toujours d’iconisation du héros et surtout ça manque de pêche à pas mal de moments niveau mise en scène. Y’a pas mal de moments « ta gueule c’est magique », mais bon c’est du Marvel c’est pas forcément un défaut lié à ce film plus qu’aux autres. Je terminerai par les personnages qui reviennent des anciens films et univers, au moins ils ne sont pas trop massacrés et le fan que je suis était heureux de les revoir. Ouais, le fan service a fonctionné sur moi, je suis faible. Donc voilà, No Way Home est encourageant pour la suite du Spidey du MCU, mais il paie un peu les pots cassés par ses deux prédécesseurs. Sympa/20, mais si vous n’êtes ni fan de Spider-Man ni de Marvel, c’est pas incontournable.