Dans Stardust Memories, Allen cite, rend hommage, plagie, ces deux maitres Bergman et Fellini, en s'attardant tout de même plus sur le second et en proposant son 8 1/2. Il y a des choses très réussies, de beaux personnages de femmes, mais le film est trop référencé pour fonctionner à plein. Du coup il y a un sentiment de profusion, mais dans le mauvais sens du terme, trop de choses hétéroclites, un éparpillement un peu fatigant à la longue, et ce même si l'exercice est clairement réussi.
Revisionnage : Son 8 1/2. C'est parfois fatiguant, parfois éreintant, ce n'est pas un film très plaisant, mais il faut reconnaitre l'intelligence de l'ensemble, et sa beauté. Disons que c'est un grand film pas facile à aimer.