Stargate : Continuum 2ème téléfilm de la licence, après la fin de SG1 et sa conclusion avec Stargate : L'arche de la vérité. On nous emmène cette fois non plus sur la trace des Oris, mais bien sur les bons vieux ennemis de la série : Les Goa'ulds. Pas n'impote lequel en plus, Ba'al, le dernier des maîtres, capturé, arrive à s'en sortir en créant un paradoxe temporel qui modifie le cours du temps.
Alors, évidemment qu'en on touche au temps, aux paradoxes temporels et autres changements du continuum, ça donne parfois un mélange scénaristique assez risqué, bien la série SG1 s'y était déjà frottée déjà plusieurs fois. Seulement, ça n'empêche pas que le scénario retombe dans ces travers, avec le passage de l'éxécution de Ba'al en plein mileu désertique et ensuite l'arrivée par la porte sur un bateau en antarctique, c'est bien sur le papier mais légèrement confus tout de même.
Et là, c'est le premier problème du film et je dirais même de la franchise vu que c'était le cas dans la série et le dernier film, l'enchaînement des scènes et des situations est maladroit, la logique scénaristique est parfois dure à admettre (l'acceptation des personnages de vivre dans ce monde altéré ou le retour magique de Daniel laissé à l'abandon).
Les acteurs toujours fidèles au poste incarne toujours bien leur personnage, c'était même plaisant de voir le retour d'O'Neill. Les effets spéciaux sont passables, même si je ne vais pas les acclamer et enfin quelques plans intéressants sur le bateau, mais sinon le reste est très plat.
En somme, même si pour les connaisseurs de l'univers, il est sympa de retrouver les personnages emblématiques de la franchise et voir leur nouvelles aventures, cela ne s'en limite qu'à ça et ce film ne restera malheureusement pas dans ma mémoire.