J ’entre dans la salle. Les lumières s’éteignent. L’écran s’allume. Première scène, les lumières s’éteignent. Puis elles se rallument. Et enfin, une tâche de sang.
Teddy vient à peine de commencer, et déjà nous sommes déstabilisés. « Merde ! » Ce mot est le seul qui vient ponctuer cette ouverture qui résume à elle seule plutôt bien ce qui va suivre : une œuvre hybride, entre la comédie et le film d’épouvante, saupoudrée d’une pointe de kitch. En effet, le film ne cessera pendant une heure et demi d’alterner entre ces genres et de les mélanger, de la même manière que le soleil occitan se couche pour laisser sa place à d’étranges nuits d’été ; de la même manière que lors de cette première scène, le courant circule puis se coupe, et splash !
La suite de la critique est à retrouver ici : https://www.lequotidienducinema.com/critiques/teddy-un-numero-dequilibriste-reussi/