Évoquant la souffrance de l'isolement, la cruauté et la perversité potentielle des enfants, Teddy parle aussi du sentiment de vengeance et s'achève en une fable ironique et cruelle. C'est aussi le témoignage d'une époque d'un cinéma fauché, maladroit mais sincère, et même s'il a pris un gros coup de vieux, se laisse visionner comme un vieux classique en noir et blanc. Teddy est à réserver à un vrai public averti et surtout aux curieux chez qui il rappellera une certaine idée de la série B à l'ancienne, audacieuse et flirtant parfois même avec le Z. La critique complète est ligne sur le site Terreurvision.