Sept ans après le must de la science-fiction « Terminator », réalisé en 1984,
où le robot tueur T-800 n’avait pas tuer Sarah Connor mais où il avait plutôt été vaincu,
James Cameron nous a laissé le droit de connaitre la suite des aventures de l’héroïne. Dans "Terminator 2", Sarah Connor se retrouve dans un hôpital psychiatrique car personne ne veut croire ce qu’elle raconte, le T-800 a été bien entendu écrabouillé, mais on peut voir quand même l’enfant John Connor qui a pu naître mais il est plutôt caïd et il est élevé par des parents adoptifs. Mais dans le futur, les machines envoient un robot tueur dont le but est d’exterminer John. Ce robot appelé le T-1000 n’est pas joué par Schwarzenegger mais par Robert Patrick. Schwarzenegger joue quand à lui un nouveau T-800, mais qui est devenu cette fois « bon » et qui est chargé cette fois de protéger John.
Dans cette suite, non seulement il y a bien plus d’effets spéciaux que dans le premier volet, mais c’est surtout qu’ils ont vachement évolués. Voir le T-1000, fait de métal liquide, se métamorphoser en tout ce qu’il veut, puis le regarder se faire massacrer et à chaque fois le voir ressusciter, c’est toujours beau à voir. Dans le second volet, les paysages urbains ont énormément changés, Sarah a vieilli et est devenu bien plus violente et les poursuites infernales de voitures sont fréquentes, oppressantes, et nous tient en haleine tout le long. Et donc, quand il y a bien plus, c’est toujours génial.
Mais j’aimerais toujours un peu plus "Terminator 1" car dans sa suite, qui est très bonne aussi, il y a néanmoins une vingtaine de minutes trop lentes et même de trop dans le scénario. Mais j’apprécie quand même évidemment ce blockbuster signé du génie de Cameron. 4/5