Un T-1000 est envoyé dans le passé pour tuer John Connor, fils de Sarah (la concasseuse de Terminator), avant qu'il n'atteigne l'âge adulte. Effets spéciaux assassins, Arnold poilant de second degré, même s'il n'est pas toujours au mieux dans ses comédies, îl reste inégalable pour jouer les cyborgs aux émotions limitées. Avec cette brillante suite, James Cameron démontrait (encore) qu’il est un des grands cinéastes de notre époque. Devenu incontournable. La meilleure preuve, c’est que le film n’a pas vieilli, alors que la technologie a progressé depuis.
Clin D'œil :
Schwarzie nous l’avait juré à la fin du premier Terminator, en 1984 : « I’ll be back » (Je reviendrai). Sept ans plus tard, promesse tenue avec ce deuxième film, encore plus spectaculaire, dans lequel il joue un gentil cyborg. Résultat : 310 millions de dollars de recette et quatre Oscars en 1992, dont ceux des meilleurs effets spéciaux. De quoi réviser avant le cinquième opus, Terminator : Genisys.