La foire aux conspis.

Un auteur caché surexploite l'implicite clin d'oeil qui fait plaisir aux producteurs véreux, pour le bouquet final avant autodestruction du model.

Avalanche de bébé à sauver en couveuse, enfants traumatisés, chocs éléctriques, Pizza Pizza sauce tomate (pour ceux qui comprennent l'allusion avec ce magnifique sur entendu pour la dernière scène post générique et son jason momoa lui-même soupçonné de Bidennerie sauce epstein sur travailleur dans le charbon), peluches fetiche, dédoublement de personnalité avec un alter stupide, un échange de pouvoir avec chantage, abus, extorsion de consentement, gène à outrance à cringeland où un bon tiers des dialogues peut avoir un double sens (that's what she said) , du pédo de partout, du mythe prométhéen, sacrifice, initiation, chimie +electricité divine, zeux, jupiter, frankenstein, tout est brouillé et mélangé, les bourreaux deviennent victimes dans un ballet sans début ni fin, multivers sous forme d'explosion skizophrénique du sujet aliéné, génération Z complétement déconnectée, idiote, sans but, sur couvée par des parents acteurs idiots, et son double orphelin.

Il faudra résoudre son trauma par la fusion des deux en acceptant de tuer sacrifier la mère pour sauver le père grace à la manipulation d'une preuve vidéo, rien n'est vrai, ni post vrai, et rien n'est faux non plus, tout est peut-être, on ne sait pas, dans un état suspendu schrodingeren, ne reste que la machine, le système, le sacrifice à Moloch, tout n'est qu'un théâtre de douleur dont on guérie par le pardon du bourreau.

Premier et dernier blockbuster post Metoo...

Il ne crois plus en rien, te balance leur love interest métisse dégeu qui joue comme une patate en y laissant l'étiquette (comme dans l'horrible scène du fils qui viens "laisser mourir" la mère très avenante avec cet inconnu qui l'aborde dans un supermarché) et c'est un peu à l'image du film. Il veut que tu vois l'étiquette ! les ficelles, les gros enjeux encore liés à un erreur débile causée par le trop impulsif protagoniste (#spiderman) , un monde d'orphelins en cape, mono mythe qui tue et impose SA justice pour se trouver une rédemption et faire resurgir les fantômes de ses parents. Les USA ont tué la terre mère des indiens, castré le père européens et pris son phallus pour éjaculer sa science nucléaire et sa pop culture made in CIA sur le monde qui doit accepter de mourir pour lui , pollué, détruit, surpeuplé. Le film est lui même son chronodome machin chose, la sphère de l'autocontemplation, la chaise de Brazil, lieu fertile d'où poussent toutes les psychoses. A l'interieur du fantasme de l'imaginaire tout puissant déconnecté du réel et son éternel retour, c'est une sphère en expension qui constitue l'horizon des possibles jusqu'à inverser la réalité sur elle-même comme sur un plateau de lci.

C'est du Post trump, la naissance d'un non-monde dirigé par la pragmatique IA sauveur de l'irrationnalité humaine, un multivers où tout est possible tant que tu es dans la machine, le système monde qui ne cherche plus la valeur tant il l'a détruite, ni même le pouvoir, .... alors quoi ? Ici le satanisme illuminati grandguignolesque se rie de lui même, affreuse image de l'ultime farce, ça nous dit déjà que la vérité est ailleurs, qu'il est temps de changer de narratif et se trouver une autre dualité à gérer dans une guerre tiède infinissable.

Un tiers d'insurgés pour se révolter contre quelques crimes franc maçonaméricains bien dégueulasses, ça détourne l'attention. Voilà pourquoi c'est la foire aux conspis, ceux qui viennent d'arriver pour danser d'émotion et tomber dans les panneaux. Et peut importe...

Bientôt les boomers feront booms et ne restera de ce kaoccidental que l'élite de la génération Z pour diriger ce troupeau satisfait et aveugle, bêlant devant la technologie et les pouvoirs magiques, les flashs et les bzing bzoom c'est ton choix, ta vie, ta réalité, ton monde, tu dors, tu es dans l'aquarium couveuse de MAtrix bien branché au système monde.

Illustration parfaite de l'impuissance acquise, le chien postpavlovien inutile se prostre et refusera à jamais de s'enfuir, (#reak de GOT).

Vu sous cet angle post conspi, orphelins transhumaniste non-binaire asexués apathique sans trop implication qui organise avec joie son suicide collectif, c'est divertissant.

Maintenant il est temps de passer la main au chinois , Auront-ils intérêt à exporter leur propre culture empoissonnée qui vous nettoie bien l'âme et le cerveau ? à suivre......