24 janvier, cérémonie longue et exaspérante, gerardmer.
L'attente devient palpable, les génériques arrivent, et les rituels de Gérardmer reviennent, hurlement de loup group, cri de sorcière et chaque logo de compagnie de production s'accompagnent d'applaudissements sarcastique de la salle, l'attente est déjà rempli.
Le premier film est tous de même de hidei Nakata, figure majeur du cinéma horrifique nippon, alors, n'ayant vu que son ring et son dark watter, mes attentes étaient grandes.
Caricaturale, stéréotypé, l'introduction cache quelque chose, une image idyllique dans laquelle vient s'introduire un commentaire "ne me trahit pas" lance pr la protagoniste a son mari. Commentaire lourd, annonçant un énième fusil de techckov, le film s'annonce pey subtil.
Après cette séquence gênant par sa lourdeur, le film se déroule devant nous, à cumulant un par un tout les attendus du spectateur, le film tourne dans un cercle, rattrapant sans cesse tous les clichés. L'absurde va jusqu'à l'auto citation du réalisateur de ces précédents films (the ring, dark water).
Ce même réalisateur semble être à court d'inspiration au vu de la mise en scène, au point que seul les séquences tirées de ces précédents films fonctionnent, en vue du film lui même seulement, car, comparé à leur films originelles, leur degrés d'horreur atteint est nettement inférieur.
Ensuite, il se vautre dans une lumière dont seul un réalisateur amateur peut être fier, du teal and orange le film ne sortira pas. Cette lumière ne laisse aucune couleur exister, tout est identique dans l'image, le spectateur est prisonnier d'une image plate, dans laquelle il n'a rien à explorer et ne peut en rien s'emouvoir.
Enfin, en dehors du scénario que ne m'intéresse pas ici, les moments d'horreur sont forcément surligné par des bruits incessant, absurdes et insupportables.