Une palette chromatique dénuée d'essence, lacunes dans les artifices visuels et auto-références, l'intérêt narratif se cantonne à l'horreur suscitée. Perturbant toutefois, mais dénué de contrôle artistique, une profusion généreuse teintée d'une extravagance déclenchant des rires authentiques
Créée
le 28 janv. 2024
Critique lue 18 fois
5 j'aime
D'autres avis sur The Forbidden Play
À la surprise générale, après une douzaine de films de merde ces 15 dernières années, le mythique réalisateur de Ring nous pond un nouveau film de merde. Tout est raté : le script est insultant de...
Par
le 19 févr. 2024
2 j'aime
1
Gerardmer 2024, film d'ouverture.Il existe des mauvais films chiants, et des mauvais films heureux, qui laissent un sourire aux lèvres à la fin de la séance. The Forbidden Play est de ceux-là. Et...
Par
le 25 janv. 2024
2 j'aime
Après avoir vu une très bonne sélection des courts métrages ( je recommande fortement !!), je décide d'aller voir le dernier Hideo Nakata, The Forbidden Play! Pour tout dire je ne devais pas voir ce...
Par
le 23 févr. 2024
1 j'aime
Du même critique
La fascination, à l'instar de "Chambres rouges" et son actrice principale, trouve son pouvoir dans l'inexpliqué et dans sa faculté d'éveiller une admiration intense. À travers des clés de...
Par
le 28 janv. 2024
16 j'aime
Grumberg choisit la fable et Hazanavicius l'animation pour aborder la dés.humanisation, et ainsi transcender les limites de sa représentation. La simplicité apparente de la forme, qu’il s’agisse de...
Par
le 1 oct. 2024
15 j'aime
1
À travers le dédale des couloirs du Vatican, "Conclave" installe un théâtre où résonnent les échos d'ambitions voilées et de murmures calculés. Pourtant, derrière la façade d'un thriller religieux où...
Par
le 30 nov. 2024
13 j'aime
