The Game
7.1
The Game

Film de David Fincher (1997)

The game ou le film qui devrait être dans le dico pour illustrer l'expression : "être sur le cul." Ma critique ne sera absolument pas objective. Zéro analyse. La raison ? Je ne peux pas retranscrire mon émotion avec des mots. J'ai été naïf tout le long du film, je me suis laissé manipuler par le génie de Fincher et lorsqu'arrive la chute finale, un seul mot : "QUOOOOOOOIIIII ?" Dix minutes plus tard, je suis toujours sur le cul. Deux ans après avoir vu le film, toujours le même enthousiasme. Un Michael Douglas qui dépasse la perfection, voire l'entendement humain. L'un des meilleurs moments de ma vie. Le film qui m'a donné envie de faire du cinéma. Je ne vais pas gâcher mon plaisir : 10 sur 10; fin du débat.
Pretoria
10
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Top 20 films [1990-1999] et Top 10 des prétendants au top 10

Créée

le 2 juin 2013

Critique lue 746 fois

6 j'aime

Pretoria

Écrit par

Critique lue 746 fois

6

D'autres avis sur The Game

The Game
Gand-Alf
7

L'anniversaire.

Revigoré par le succès critique et public de Seven, qui lui aura permit de tirer un trait sur son expérience catastrophique sur Alien 3, David Fincher récupère un script prévu initialement pour...

le 24 mai 2015

67 j'aime

19

The Game
Torpenn
2

Twist again, and again, and again...

Un David Fincher en roue libre, loin d'avoir atteint sa maturité et qui essaie désespérément de nous faire croire à son scénario ridicule. Une musique insupportable histoire de faire monter un...

le 10 avr. 2011

66 j'aime

30

The Game
mikeopuvty
2

ULTRA GAAAAAAME !

La première demie-heure est pas mal, surtout grâce à la photo. Ensuite, le gros problème réside ici : passé la scène géniale de paranoïa dans les chiottes ( "est-ce que ça a commencé ? Est-ce le jeu,...

le 7 mai 2012

65 j'aime

8

Du même critique

Le Mépris
Pretoria
2

Le mépris... mais pour qui ?

Godard ou l'art de justifier un film ennuyeux, pour rester poli, par la poésie. Alors d'accord, commencer par la nudité de B.Bardot et terminer par Ulysse qui crie victoire face à la mer, c'est...

le 14 juin 2013

41 j'aime

6

Docteur Folamour
Pretoria
4

Quand la satire politique l'emporte sur l'humour

Après son très réussi Les sentiers de la gloire en 1957, fidèle à ses idéaux pacifistes, Kubrick s'en va de nouveau en guerre. En guerre contre... La guerre froide. Au-delà que la réalisation, plutôt...

le 19 août 2013

17 j'aime

1

Requiem pour un massacre
Pretoria
10

Nous sommes Fliora.

A travers le regard de Fliora, jeune adolescent biélorusse et candide, nous découvrons l'horreur réservée à la "vermine bolchévike" par les nazis. Tout commence où, fier comme un coq, le gamin trouve...

le 17 juin 2013

6 j'aime