« Les communautés furent bâtis sur les cendres de l’anéantissement protégées par la frontières et tout les souvenirs du passés furent effacés. Après l’anéantissement nous sommes repartis à zéro en créant une nouvelle société fondée sur une véritable égalité. Les règles étaient le fondement de cette égalité, en tant que nouveaux enfant nous les apprenions. Des règles comme, utiliser un langage précis, porter les vêtements prescrit, recevoir la médication du matin, respecter le couvre-feu, ne jamais mentir. Je m’appelle Jonas, je n’ai pas de nom de famille, personne n’en a. »
« On vivait dans un monde ou la différence était interdite. Il n’y avait ni popularité, ni célébrité, ni perdant, ni gagnant, les sages avaient éliminés toutes sources potentielles de conflits entre nous. La peu, la souffrance, l’envie, la haine. Ce n’était plus des mots, mais de simples sons, ce qu’ils signifiaient avait basculé de l’autre côté de l’histoire. On me demande si je devrais m’excuser de ce que j’ai fais. C’est à vous d’en décider. »
Ce sont les paroles du protagoniste Jonas la veille de recevoir sa ‘’graduation’’ c’est-à-dire l’ ‘’emploie’’ dans cette société. Hacher et Fiona étaient ses amis.
Au début du film, on voit l’environnement dans lequel ils vivent, ont les voit jeunes puis grandir. On les voit entrer dans le centre nourricier, leur dernier jour de stage. Jonas et Fiona pèsent deux bébés en même temps, celui de Fiona est plus lourd, le « père » de Jonas appelle donc Hacher pour prendre le bébé puis, on ne voit pas ce qu’il fait avec ce dernier. Pendant ce temps un bébé pleure et le « père » de Jonas dit qu’il ne sera pas à la cérémonie de demain car il ne serait pas assez fort pour être assigné à une famille. Pourquoi ? Est-ce juste parce qu’il pleure ? Par la suite le père dit le prénom du bébé, a ce moment là on sait qu’il se nomme Gabriel et que connaitre son nom était contre les règles, mais le « père » de Jonas pensai que ça pourrait aider l’enfant à ne plus pleurer. Pendant que Fiona se touche les cheveux Jonas commence à voir les couleurs. Dans l’histoire, les couleurs aussi sont supprimées, mais Jonas en perçoit quelque unes.
Ils se nomment maintenant « les gradués » car ce qu’ils vivaient était les derniers jours de leur enfance.
A table, dans ce qu’ils appellent « cellules familiale », la mère explique ce qu’elle ressent envers l’instructeur de Lily, « sa fille » qu’elle a du envoyer à « l’élargissement ». L’élargissement vers l’ailleurs est en fait un meurtre, ils tuent la personne par une simple piqure mais s’en se rendre compte que ce qu’ils font est mal. Lily demande donc si un jour elle pourrait être élargit vers l’ailleurs le temps d’une journée, son père dit alors qu’elle est trop jeune pour ça, mais dans le film, ont comprend plus tard qu’ils élargissent autant les bébés que les plus vieux, donc il n’y a pas d’âge mais seulement des restrictions. Chacun dit à tour de rôle ce qu’ils ressentent à table. Jonas dit qu’il se sent terrifié mais la mère réplique en disant « précision du langage » et il remplace le mot ‘terrifié’ par ‘anxieux’ car il ne sait pas qu’elle graduation il allait recevoir.
Le lendemain, c’est la cérémonie annuelle d’attribution. La grand sage est la par télétransmission. Elle explique que les communautés est la solution pour que le désordre soit devenue une harmonie.
La cérémonie commence par la traversée vers cette ailleurs pour rendre hommage aux citoyens âgées et qu’ils sont maintenant prêt à jouir d’une retraite heureuse dans l’ailleurs, ils vont donc mourir, mais ne le savent pas. Ensuite il y a la présentation des nouveaux nés, tous les citoyens acclament leur nom. Ensuite ce sont les enfants de 9 ans qui reçoivent un emblème de leur indécence et de leur responsabilité en croissance. Un vélo. Au final, ils célèbrent les graduées. Ils ont observées leur enfance à tous pour leur donner un emploie. A chaque présentation du métier de chacun, il est dit « merci pour ton enfance ». Ils appellent tout le monde par leur prénom et leur numéro, mais Jonas, dans l’ordre numérique n’est pas appelé. Hacher, numéro 51 a comme graduation, pilote de drone. La cellule de Jonas ainsi que Hacher et Fiona pensant que la grande sage a oubliée Jonas puisqu’il est le numéro 52 et qu’il ont appelée le numéro 53 en continuant à partir de ce chiffre. Fiona, numéro 104 a comme graduation, nourricière. Quand tout le monde fut appelé et repartit à sa place, sauf Jonas qui est toujours là, debout, la grande Sage revint et s’excuse si les gens croyaient qu’elle avait commis une erreur. La communauté à pour habitude de ceci, quand une personne s’excuse, l’autre répond part « j’accepte tes excuses ». Elle appelle donc Jonas, elle dit qu’il n’a pas eu d’attribution mais qu’il a été sélectionné. Jonas possède tout les 4 attributs : l’intelligence, l’intégrité, le courage ainsi qu’un qu’elle ne peut nommer et ne peut décrire, la capacité de voir au-delà de ce qu’on perçoit mais elle le prévient en disant que sa formation va inclure une souffrance d’une ampleur que personne n’a jamais connue. Elle dit « Crois-tu être assez fort ? Croyons-nous Jonas assez courageux ? » Tout le monde applaudis et répète son prénom sans cesse.
Il y avait aussi comme emploie, graduation, mère porteuse, je le dis car j’expliquerais ça à la fin.
Jonas est ainsi le prochain dépositaire de la mémoire. Il passera tout son temps avec le passeur.
Jonas à maintenant 5 règles, que seul lui a ainsi que le passeur. 1) se présenter directement au dépositaire de la mémoire pour sa formation (le passeur). Après la séance de formation, il faut qu’il retourne directement chez lui. 2) Il est exempté des règles de politesse.il peut poser n’importe quelle question. 3) Appart son injection quotidienne, il ne doit plus prendre les autres médicaments. 4) Il ne doit jamais parler à quiconque de sa formation. Jamais .5) Il a le droit de mentir.
L’endroit ou vit le passeur est le seul ‘’foyer’’ différent des sortes de maisons dans lesquelles vivent les « cellules familiales ».
J’ai compris par la suite que si il y avait des mère porteuses, il n’y avait pas de relations sexuelles, mais je ne saurais expliquer comment ils font pour insérer des embryons dans le corps des mères porteuses.
Le passeur ne veut plus que Jonas s’excuse envers lui. Ce ne sont que de simples mots, c’est vrai, ils sont habitués à s’excuser, mais le pensent-ils vraiment ?
Jonas pense que le passeur va lui raconter sa vie, mai en réalité il va li transmettre les souvenirs du passé, du lointain passé, là ou il y avait beaucoup plus en posant tout simplement ses mains sur les bras de Jonas en le tenant fort. Ils avaient la même marque au poignet, une marque noire. Il lui fait voir la neige, une luge, une maison.
Gabriel vint a vivre dans le cellule familiale de Jonas car il pleure sans arrêt, Lily lui ramène son objet de bien-être, c’est un éléphant mais ils appellent ça un hippo (hippopotame), le père dit que c’est une créature mythique, il dit qu’il est incroyablement rapide car il a 5 pattes, hors c’est faux. Et Jonas a vu le poignet de Gabi, il avait la même tâche noir que lui. Il savait que Gabi aussi pouvait voir au-delà.
Au cours du film, Jonas et Fiona s’amuse. Ils se tiennent la main pour se relever, mais il y a des caméras triangulaires partout, alors la voix dit « voici un message pour les citoyens de la communauté, nous vous rappelons qu’il est interdit de toucher un membre de la communauté qui ne fait pas partie de la cellule familiale. »
On commence de plus en plus a voir les couleurs.
Le passeur est convoqué chez la grande sage pour parler de Jonas qui viole les règles. Le passeur le défend donc
Au cours du film, j’ai supposée que l’ancienne dépositaire de la mémoire, Rose-Méray qui était la fille du passeur devait aussi être la fille de la grande sage. C’était l’ancienne dépositaire d’il y a 10 ans. Sa perte avait affectée la grande sage autant que le passeur, même si cela se ressent plus chez le passeur que chez la grande sage. Elle ne site même pas on prénom, elle l’appelle juste ‘’la fille’’. Elle dit aussi, en parlant de Jonas « Le garçon doit retenir la douleur en lui, n’échouez pas cette fois-ci », le passeur s’en va.
Transition.
Maintenant nous pouvons voir le passeur jeter des livres du haut des escaliers à Jonas. Dans l’un de ces livres se trouvent « le plan de l’uniformité », il y voit le triangle des rochers, Jonas dit que son ami Hacher l’a vue, puisqu’il est pilote de drone il a pu l’apercevoir. Il ya des rochers, et sur la carte on ne voit plus rien, c’est la limite extrême de la mémoire. Jonas dit alors « une sorte de frontière pour que les souvenirs demeurent seulement en vous et en moi ? » Le passeur dit « ne perdons pas notre temps » et range la carte et le passeur pense que si lui ou Jonas passe au-delà de la frontière tout le monde retrouverais les souvenirs et aujourd’hui il ne lui ferait rien voir. Il lui fait donc découvrir la musique.
« - Comme la musique, il y a autre chose que tu ne peux voir avec tes yeux. Quelque chose, qui vit au fond de ton cœur. Quelque chose qui est supprimée par les injections du matin.
- Je croyais qu’on els recevais pour notre santé.
-Non, c’est dans le but d’enlever quelque chose.
- Quoi ?
- Les émotions.
- Comme les sensations.
- Les sensations sont fougasses, et le reste sont surfaces. Mais les émotions, sont profonde, puissante, ancrées en nous. Jonas. Il se peut que tu ne comprennes pas ou tu te trouve ou bien ce qu’il se passe, mais n’essaie pas de rationalisé ce que tu vois. Ecoute, écoute ce frison qui palpite en toi. »
Il lui fait donc voir la danse, la musique, la joie, le bonheur, les sourires, les rires.
« -Mais pourquoi voudrait-on s’en débarrasser ?
- Excellente question. »
Jonas chez lui, danse et fait danser sa sœur. Son père et sa mère regardent avec inquiétude. Sa mère lui demande ce qu’il fait avec elle, et Lily dit « Jonas dit que ça c’est danser. »
La grande sage arrive par télétransmission, et Jonas lui ment sur ce qu’il fait avec le passeur. Car au final, c’est la personne qui n’a pas de bonne intention en croyant que ce qu’elle fait est bien car elle s’en ai convaincue au plus profond d’elle-même.
« On nous as dit que la grande sage connaissait tout. Des choses que personnes d’autre ne savaient. Mais j’avais apprit que savoir qu’une chose existe, est différent de savoir comment ressentir cette chose. Je me suis égaré, mais la bonne sorte d’égarement. J’ai vue et entendue des choses. Qu’aucun mot ne pourrait décrire. Des visages à la peau de toute les couleurs. Je me sentais tellement vivant. Et c’était interdit. Je ne savais pas quoi penser, ni que croire. ‘’Aie confiance’’ m’avait dit le passeur. Il disait que la confiance, c’était de voir au-delà. Il l’a comparée au vent. Une chose que l’on sent mais qu’on ne voit pas. »
‘’ Ne reconnait pas que c’est la vérité juste parce que c’est dit par une personne que tu respecte.’’
‘’ Les souvenirs ne concernent pas uniquement le passé, ils déterminent notre avenir.’’
« C’était la vie, elle semblait simplement complète. Plus je vivais d’expériences, plus je voulais en vivre. »
Cette communauté, avait tout supprimée. En créant une société, comme une sorte de secte mais que personne ne connait. Enfermée, qu’on ne peut pas atteindre.
Jonas commence alors à rêver. « Un mélange de réalité, de fantasmes et d’émotions. »
Il lui explique que tout ce qu’il ressent se nomme « l’amour ».
Jonas demande alors à son père « Papa, est-ce que tu m’aimes ? » sa mère réplique en disant « précisions du langage. » et Lily demande ce que c’est qu’aimer alors la mère explique que c’est un mot cyarcaïque que maintenant il ne signifie plus rien.
Jonas reçoit trop tôt les souvenirs de la guerre. Pour lui c’est trop dur et s’en va de chez le passeur. Et les souvenirs de Rose-Méray reviennent dans la mémoire du passeur.
Rose-Méray voulait voir la souffrance, la perte, mais elle insistait et c’était trop tôt, elle avait vue le souvenir d’une mère à qui on enlevait son enfant. Le lendemain matin sans avoir prévenue le passeur elle s’était rendue chez la grande sage et a demandée à être élargie. Jonas pense donc qu’elle vit dans l’ailleurs. Alors le passeur lui montre l’élargissement de ce matin.
« - C’est mon père. D’autres jumeaux, super !
- Regarde. »
Comme le bébé fait une unité de moins que l’autre, il lui injecte une piqure qui va le tuer, mais il ne sait pas que le bébé meurt.
« -C’est la mort.
-Il ne sait pas ce que c’est.
-Il l’a tué.
-Il ne sait pas ce que ça veut dire. Comme toi avant. Comme Rose-Méray.
-Il ne voit pas donc pas que le bébé ne bouge plus. »
Ils sont les seuls à le comprendre. Jonas veut donc redonner les souvenirs car il dit : « Si on éprouve rien, la vie n’a pas de sens. »
Fiona à commencer à penser à Jonas. Elle le laisse lui tenir les mains. Elle ressent quelque chose qu’elle ne peut définir. Elle n’a pas prit son injection car Jonas le lui avait demandé.
« Je me souviens maintenant, que j’ai rêvée à elle, quand j’étais plus jeune. J’en avais parlé à mes parents. Ils m’avaient dit que c’était du à l’agitation propre à mon âge et que ça arrivait à tout le monde. La médication l’arrêterait. » « Rien ne pourrait s’arranger. »
En rentrant chez lui, Gabriel n’était plus la. Son père lui explique que Gabi avait échoué aux tests de maturité, encore, et qu’ils n’avaient pas le choix de l’élargir vers l’ailleurs.
« Je ne me trompais pas. C’était mal, ils n’avaient pas éliminé le meurtre. Ils l’avaient récupérer et lui avait simplement donné un autre nom. Mon père ne se rendait compte de rien. Moi si. »
Jonas se rend chez le passeur, Jonas lui explique qu’il doit partir. Le passeur lui dit « Je t’aime Jonas » et c’est véritablement sincère, alors le passeur lui donne la force du voyage pour pouvoir passer la limité, la frontière des souvenirs pour que tout redevienne comme avant.
Jonas va au centre nourricier et il prend Gabi avec lui, il veut que Fiona parte avec lui mais elle ne veut pas car elle veut aider lors de son départ. En l’aidant elle se fera arrêter, et les sages vont constater qu’elle a arrêtée de prendre ses injections quotidiennes du matin « Quand j’ai dépassé la limite, nous n’aurions pas du survivre. C’était un miracle. Le passeur m’en avait parlé. Il m’avait dit que je pouvais puiser des forces dans les souvenirs, je savais qu’en lui donnant à Gabi je pouvais le protéger. »
La grande sage sait très bien que c’était le plan du passeur. Ils arrêtent le passeur afin qu’il voit l’élargissement de Fiona.
La grande sage donne une mission forte importante à Hacher, de trouver Jonas, et de le perdre. Il l’attrape donc et lui dit « je te fais confiance » et le lâche dans l’eau, voyant qu’il sort de l’eau lui et Gabi il dit à la grande sage en lui disant qu’il l’a perdue.
La mère de Jonas qui a une graduation de la justice vint voir Fiona : (sachant que le passeur écoutait tout puisqu’il était à côté.)
« -Fiona. Je me suis occupée de tout. Tout les prêt pour ton élargissement. Ce sera une belle cérémonie. Maintenant repose-toi.
-J’ai ressentis des choses.
-Quoi ?
-Je sais qu’il y a beaucoup plus.
-Fiona.
-Il manque quelque chose à notre vie. Non ce n’est pas un manque, c’est plutôt quelque chose qu’on m’a dérobée et qu’on vous a dérobée. Je ne sais pas ce que c’est au juste, mais Jonas le sait. J’ai ressentis des choses qui me faisaient tout chaud, et qui était douce, et qui était magnifique. J’ai ressentis des choses, j’ai ressentis des choses, j’ai ressentis des choses. »
Fiona est amenée a se faire élargir, mais au même moment, Jonas passe la frontière après le long chemin qu’il a fait. Désert, plaine, hiver, glace, neige. Il voit la luge de ses souvenirs, il l’approche, il l’a prend et est heureux. Il arrive enfin à la maison qu’il a vue dans les souvenirs que lui as transmit le passeur. Son premier souvenir, avec la luge dans la neige vous vous en rappelez ? Celui-là, et c’est à ce moment qu’il passe la frontière et que les souvenirs reviennent à chacun.
Les émotions sont propres à chacun, nous devon savoir les gérer et savoir quoi en faire. Le film est vraiment beau, j'aime vraiment ce que l'auteur fait ressentir comme émotions à travers ce film que je qualifie d'extraordinaire !