Vus que j'avais la flemme d'écrire une critique pour un réalisateur qui veut juste faire de la thune sans faire d'effort j'ai décidé de laissé chatgpt faire la critique à ma place (ce qui permettra de voir si les utilisateurs de ce site on encore du temps devant eux avant que l'ia les remplacent).
The Human Centipede 3 (Final Sequence), réalisé par Tom Six, se présente comme la conclusion de la trilogie qui a fait parler d'elle pour ses concepts volontairement choquants et ses excès grotesques. Malheureusement, ce troisième volet pousse l’absurde et le mauvais goût à un tel extrême qu’il perd tout impact horrifique ou satirique, sombrant dans une caricature insupportable.
Problème principal : une surenchère maladroite
L’un des principaux défauts du film réside dans son obsession de choquer pour le simple plaisir de le faire. Là où les deux premiers volets, bien que controversés, tentaient au moins de maintenir une certaine tension ou de jouer sur des concepts horrifiques psychologiques, The Human Centipede 3 s'abandonne à une vulgarité gratuite et une absurdité sans but. La surenchère permanente, qu’il s’agisse de violence, de misogynie ou de dialogues outranciers, finit par devenir lassante et vide de sens.
Performances et personnages caricaturaux
Dieter Laser, qui reprend du service dans un rôle différent, surjoue à un point presque comique. Son personnage, Bill Boss, est une caricature grotesque de directeur de prison autoritaire et sadique. Si l’intention était de faire un personnage détestable, c’est réussi, mais il est tellement exagéré qu’il en devient insupportable à regarder. Laurence R. Harvey, qui était glaçant dans le deuxième volet, est réduit ici à un rôle secondaire et ridicule.
Absence de scénario crédible
L’histoire – si on peut appeler cela une histoire – se résume à Bill Boss qui, frustré par sa gestion de la prison, décide de mettre en œuvre une version « ultime » du mille-pattes humain avec… tous les prisonniers. Le concept est tellement absurde qu’il perd toute capacité à horrifier, laissant simplement les spectateurs se demander pourquoi ils ont choisi de regarder ça.
Un humour qui ne fonctionne pas
Le réalisateur semble avoir voulu injecter une dose d'humour noir pour accompagner la démesure. Le problème est que cet humour tombe à plat. Les blagues sur le viol, la torture et la mutilation ne provoquent ni rire ni malaise réfléchi, mais plutôt un sentiment de malaise face à leur exécution maladroite et insipide.
Conclusion : une œuvre inutile
The Human Centipede 3 ne parvient ni à choquer intelligemment ni à divertir. Ce qui aurait pu être une satire extrême ou une critique sociale dégénère en une farce dépourvue de la moindre profondeur ou pertinence. Si les deux premiers volets, malgré leurs défauts, avaient au moins une certaine vision artistique, ce dernier film ressemble davantage à un exercice d’auto-parodie raté.
En bref, The Human Centipede 3 est un désastre cinématographique à éviter, même pour les amateurs d’horreur extrême.