Pour sa première, le jeune Francis Galluppi clame clairement son amour pour le cinéma Tarantinesque, et ce n'est pas pour me déplaire ! La réalisation est vraiment soignée, on est clairement dans le cliché de la station-service-motel perdue au bord de l'autoroute, qui nous entraîne dans une situation de plus en plus incontrôlable. C'est maladroit, mais c'est normal pour une première, n'est pas Tarantino qui veut, les 1h30 passent à grande vitesse et ça en fait une belle surprise pour ma part.

Nameless-Citizen
7

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le 9 août 2024

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