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Uncharted
Avec six films à son actif en vingt-deux ans de carrière, James Gray est un réalisateur qui sait se faire désirer. Dans The Lost City of Z, Gray abandonne la jungle New-Yorkaise qu’il connaît si bien...
le 19 mars 2017
103 j'aime
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James Gray là où je ne l'attendais pas
Dans The Lost City of Z James Gray s'éloigne considérablement de son genre de prédilection : le polar / thriller urbain.
Ça ne l'empêche pas pour autant de traiter des ses sujets de prédilections : la relation père-fils, la famille, l'héritage.
J'ai tout aimé. La photo est somptueuse, les personnages sont attachants (et pourtant je n'aime ni Patinson ni Hunnam à la base).
On vit l'obsession du personnage principal et partage son propos profondément humaniste, à contre-courant tant il est en avance sur son temps.
Je suppose que le tournage en conditions tropicales a dû induire quelques petites contrariétés techniques (un peu comme dans The Revenant), le point n'est pas toujours parfait dans l'Amazonie.
Puisqu'on parle de The Revenant que j'ai trouvé terriblement creux et surjoué, Gray trouve un juste équilibre en contemplation, émerveillement, découvertes et effroi, sans en faire des caisses comme Innaritu.
Peut-être mon préféré du réalisateur avec The Yard et Two Lovers.
8
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Créée
le 11 avr. 2017
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