"J'veux plus qu'tu m'aimes"
Le personnage principal sera probablement d'accord avec cette chanson du canadien Robert Charlebois.
L'idée du film est similaire à celle de Mum and Dad de Steven Sheil sorti en 2008. Un jeune se fait séquestré par une famille qui a très bien intégré le concept d'amour familiale au départ, mais pour qui laquelle les preuves d'amours sont des sévices physiques.
Ceut-être l'un des meilleurs films d'horreur qu'il m'ait été donné de voir. Ou du moins celui qui m'a fait le plus réagir étant donné que je riais pendant une scène et me cachait les yeux en gémissant à la scène d'après. Ce film est le cinquième dans le genre de l'horreur que j'enchaine cette semaine, et les autres ne sont à côté des épisodes de Fais-moi peur.
The Loved ones est pourtant loin d'être le film le plus sanglant que j'ai vu, mais celui que j'ai le plus vécu. L'histoire de la séquestration, qui est le centre de l'action, est entrecoupée par des scènes du bal de promo qui se déroule dans le même temps à l'université. Ces scénettes m'ont rappelées celles des deux policiers qui enchaînent les gaffes dans La Dernière maison sur la gauche de Wes Craven. L'alternance entre l'horreur oppressante et le marrant fonctionne de la même manière, encore que les scènes de séquestrations de The Loved aunes transpirent d'humour noir.
Je ne m'étalerais pas sur le montage, la musique, les personnages, l'ambiance, vous aurez compris que j'ai plutôt tout aimé.