Cheap Thrills
Une production Netflix vaguement horrifique, qui reste regardable mais s'apparente quand même à un bon petit navet, dont l'écriture manque nettement de finesse, et que j'ai trouvé très prévisible...
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Une violoncelliste de renommée internationale --- noire, lesbienne et piercée ; si-si... --- se déféquant dessus lors d'un voyage en Chine...
Voilà une des selles... pardon... une des scènes sensibles et inoubliables de The Perfection.
Vous le constatez, ce film fait appel à des ingrédients "vendeurs" --- il y a aussi du cul, du vomi (avec des vers dedans ! ... le pied !!), de la feuille de boucher, de la torture, de l'amputation...
Ce n'est pas tout --- attention, je "spoile" --- : le directeur de la prestigieuse école bostonienne ou a été formée cette merveilleuse artiste est un mâle blanc sadique et violeur.
What's happening ?! (...) What's happening ?! (...) What's happening ?! (...) What's happening ?!
Que le pauvre Richard Shepard ait eu envie de faire son beurre en surfant sur la vague de la Propagande... passe encore. Le problème est que ni le récit, ni les dialogues, ni le jeu des actrices ne parviennent à sauver la servilité du bonhomme.
Quand, à la toute fin du film, sont apparus ces deux mots --- THE PERFECTION ---, l'individu à côté de moi, incrédule, a éclaté de rire...
J'hésite encore entre l'hilarité (comme cette personne) ... et les sanglots.
Une chose est certaine, en revanche : The Perfection est d'une niaiserie confondante.
Créée
le 12 juil. 2020
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