Dans ce - Club de l'Émeute - il va sans dire ( mais ça va bien de l'dire ) qu'il s'agit ici d'un adoubement non pas de la Lumière mais bien des ténèbres. Et c'est sous l'angle certain d'un point d'vue animiste que cette histoire avec ses codes rend "conte" d'une possession démoniaque...
L'horloge de mon écran indiquait Minuit passé lorsque j'ai finalement appuyé sur l'icône Play pour démarrer " The Riot Club " dont je ne savais absolument rien, ni du synopsis, ni des acteurs ni du réalisateur... non rien de rien, nada ! Nienté !
Je fais ici un court-commentaire pour ce long-métrage car j'ai peu de temps, mais un d'ses 4... je me propose de revenir sur la description d'une lecture initiatique de ce film, de ce que l'on peut lire entre les images narratives d'une histoire qui apparaît ici, comme l'illustration parfaite de ce qu'est l'initiation des fraternités, bien au-delà du bizutage, et de ce vers quoi elles tendent toute, sciemment ou inconsciemment, leurs aboutissements... L'Adoubement !
Et dans cette pièce maitresse déjà culte ( précoce ) ... c'est un adoubement démoniaque pleinement réussit pour l'un des deux protagonistes, novice en lice au sein de cette meute-fraternel du vice et de ses légions de portraits possédés à la Dorian Gray, détestables et faux-cul à souhait, qui s'inscrivent ici dans une tradition à l'oeuvre depuis près de 3 siècles.
En vertu de quoi et au vu des résultats, il est aisé de dire que - The Riot Club - L'Émeute de la Meute - fonctionne à merveille.