Parce que la mort c'est la vérité absolue et qu'il faut bien continuer à vivre.
Autant subtile que le premier volume sur l'emprise et la dépendance, ce second volet planant déroule la perte de sens d'un quotidien qui ne sait plus rien, qui ne sert à rien.
Alors ces courants de vide l'amènent à travailler, à faire un film de cet amour disparu afin, pense t'elle, faire le deuil et, sans même s'en rendre compte, à construire une coquille artificielle qui l'isole de l'ordinaire social. Cette solitude d'amour est un fidèle chien de garde.
"Mon bel amour, mon tendre amour, mon fol amour je te porte dans moi comme un oiseau blessé; et ceux là sans savoir nous regardent passer".