Elle en pire
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The substance n’est pas si extraordinaire que ça, cinématographiquement parlant.
Mais après coup, il créé des remous, quant au rapport à soi-même, aux conflits intérieurs mais aussi au regard qu’on porte sur l’autre soi-même qu’on a été plus jeune. Je dirais qu’il parle directement à l’ « organique » de notre humanité.
Comment cohabiter avec son passé, sa gamine intérieure qui est toujours là, et aussi bien sûr sa rage face au regard critique si superficiel d’une grand partie de la gente masculine ?
Par contre toutes les références à Lynch, Kubrick … franchement dommage, ça enlève toute sa personnalité au film.
Créée
le 17 nov. 2024
Critique lue 3 fois
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