Elle en pire
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le 10 oct. 2024
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Dès le début du film, j’ai eu un peu de mal à accrocher. Notamment, sur le plan esthétique, les gros plans me mettaient un peu mal à l’aise.
Assez rapidement, on comprend que le film traite d’une certaine manière de la misogynie dans le milieu hollywoodien et plus particulièrement de la place (ou l’absence devrais-je dire) des femmes mûres dans l’espace médiatique. C’est un peu amené avec des gros sabots mais bon, je pensais que ça tournerait plus autour du thriller psychologique que du film gore.
Lorsque l’alternance se met en place, on sent très vite que ça va partir en cacahouète… et ça part effectivement en cacahouète.
Avant d’arriver à la fin qui m’a laissée totalement perplexe, certaines scènes m’ont bien fait rigoler. Notamment quand Demi Moore prend l’allure de Mme Sarfati (cf. Elie Kakou pour les plus jeunes).
À la fin, c’est juste du gore pour le gore à mon avis. Ça frisait même le nanar, tellement c’était exagéré.
Créée
le 21 févr. 2025
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