Notre monde est corrompu par des films d'une médiocrité à nul autre pareil. Voir de la qualité de nos jours est un miracle que l’on ne saurait remercier assez au vu de l’industrie sclérosée dans laquelle l’artiste doit créer.
Au milieu de ce marasme, Brendan Steere arrive tel le Messi pour nous guider vers le salut.
N’avons-nous donc jamais vu plus bel hommages aux valeurs que nous ont transmis le Christ que dans ce long-métrage révolutionnaire qui fait passer tout les plus grands pour des fraudes, des tocards, des faquins, des margoulins. Autant vous le dire dès le début de la critique, il y aura un avant vélocipastor et un après vélocipastor.
Dans ce film nous suivrons un pasteur, héritier spirituel du Christ qui va chercher à ramener tout les mal nés sur la voie du salut. Sa mission divine l’amènera jusqu’en Chine où il guidera des ninjas chinois que Satan a corrompu sur le chemin de la rédemption grâce au pardon (et au don de métamorphose que lui conféra le Seigneur dans son infinie sagesse pour apporter l’amour sur le monde.)
Je suis sans voix face à un montage virtuose, une photographie majestueuse, une mise en scène qui produit chez le spectateur la Révélation et des chorégraphies à faire pâlir Tsui Hark tant ses films son mous et soporifique en comparaison.
Je ne peux que vous conseiller d’aller voir ce film qui vous guidera un peu plus chaques secondes vers la paix de l’âme. Et souvenez-vous, les derniers seront les premiers