La fascination me prends face à cet univers visuel où tout semble être tombé dans la décadence.
La première scène arrive très bien à nous faire visualiser où on va et on y plonge avec un mélange d'appréhension et de hâte. L'Espèce humaine évolue, son corps change et les représentant de l'espèce s'adonnent à de nouvelles pratiques.
La moindre incision est rendue fascinante, le visuel de la chaire qui se coupe, le son des organes trifouillés en tout sens et ces gémissement plein de stupre.
Ce fut un voyage captivant tout ce qui attrait à la matière est réussie, chaque crocs, chaques murs, chaques machines, on peut sentir leur touché particulier