Chaque idée est mise en œuvre à Rome avec les moyens du bord, des bricolages qui composent des gags visuels. Ces anachronismes sont le terreau de l'humour de Thermae Romae, d'abord le regard éberlué de Lucius (ses yeux s’écarquillent comme dans un manga), les gentilles moqueries des Japonais puis du visage plein de jouissance de l'architecte devant le plaisir de s'être bien lavé. Ses rêves de thermes idéaux sont près d'être concrétisés.
Du Japon, il ne ramène pas que des inventions mais aussi la jolie Mami (Aya Ueto), sa guide attitrée à Tokyo. Mangaka désargentée, elle voit dans les aventures temporelles de Lucius l'occasion de créer un manga. Et aussi un petit ami. Pas de chance, elle sera embarquée à Rome en 138. A son tour, elle devra découvrir une époque où tout est différent, à part les thermes qui ressemblent désormais à ceux qu'elle connaît bien.
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