On n’est jamais meurtri pour ce vieil homme cédant plus à un caprice de bourgeois nanti qu’à une véritable nécessité tout simplement parce qu’il n’y a aucune souffrance ni morale ni physique particulières. Passons aussi sur le fait qu’il dévore un sandwich couché après sa sortie de coma avant de nous alerter sur les dangers de la fausse route, cela peut paraître anecdotique mais cela ne fait pas sérieux dans un film sur la maladie. De plus, aucune alternative n’est avancée, aucune décision n’est discutée, tout semble tracé jusqu’à l’inéluctable final. On a aussi droit à une Marceau morne, fadasse, sans saveurs, pas investie pour un kopeck.