“ Levant le tabou de la fin de vie assistée, Ozon met la mort à l’épreuve du droit. Entre humour et causticité se perd l’âme de l’émotion. Un parti pris du réalisateur de ne pas s’en tenir au tragique de la situation, certes avec un humour grinçant. Mais il manque tout de même cette âme, cette dimension émotionnelle que je n’ai pas réussi tout à fait à cerner dans les personnages. Même si j’ai trouvé Géraldine Pailhas plus touchante que S. Marceau. Quant à Dussolier , il campe un personnage si détestable…que c’est dérangeant. Tout comme il l’avait fait pour « grâce à Dieu » Ozon défend un sujet , et en fait un film ( ici la mort assistée).