Jean espace Luc God attaché ard et Jean espace Pierre Go attaché rin s'associent pour tourner Tout va bien, en espérant que tout aille bien.
Plan séquence dans un carrefour, travelling qui va et viens, folie du travailleur, nous voici en mai 68, la révolution frappe et les portes se bloquent, filmé comme ci c'était un film, le film devient une mise en scène d'une époque filmée par un réalisateur, non deux !
Plein de bonnes idées, ce film... ce boulot de travailleurs comprend quelques petites, il en comprend, longueurs, surtout lors des monologues où une personne seule prend la parole, un monologue donc ? Oui c'est cela !
Yves Montand, descendant toujours dans mon estime ne m'a pas plus gêné que ça, enfin si évidement que si mais puisque ce n'est pas lui qui m'intéresse je fais comme s'il n'existait pas même si voilà il existe... il n'est ici que Montand, rien de plus. Face à une Jane Fonda, déjà autre chose, que je n'e (zut une faute) non je ne m'attendais pas à voir là.
Causant des travailleurs exploités et du cinéma à cette époque, il pose un avis que je ne comprend pas forcément, ne comprenant d'ailleurs pas souvent les films du "alléluia" GODARD, qui ne calme décidément pas ses Godardeurs, l'humour est nécessaire, surtout quand on est exploité, ça aide à survivre, alors riez pour survivre !
Titre
Le film, car oui nous parlons ici d'un film, s'ouvre efficacement, vraiment, j'ai beaucoup apprécié le début mettant en scène les personnages et l'environnement, j'avais l'espoir et surtout l'envie que le film car oui nous parlons ici d'un film suive ce chemin tout du long. Mais cela... Du coup j'ai trouvé le reste moins efficace et parfois long comme déjà exposé, mais je ne sais pas, le tout reste tout de même intéressant. Peut être que tout cela est du à mon amour profond pour Godard Jean Luc, que sais-je moi, à part si ce n'est que je suis sur de ne pas l'aimer, pourquoi en serais-je donc fasciné alors pourquoi ? Répondez moi !
FIN
Là où le mot fin arrive, le troll peut subsister, c'est la magie des mots, la magie du cinéma, la magie de la vie, la vie où tout le monde (enfin faut trier mais... 68) où une grande partie du peuple a le droit, a des droits, voilà pourquoi il faut dire non... enfin tout dépend la question.