Entre « Festen » et « Juste la fin du monde », un film où il est question de destin, de choix, de l’holocauste et de la Weimar, de musique classique, de piano, du bruit des souvenirs, de filiation, d’héritage, de reconnaissance, du temps qui passe, du temps qu’on ne rattrape pas, du temps qu’il faut saisir, d’un vieil homme fortuné, bourru, méprisant et grossier qui fête son anniversaire, et de ses trois fils, d’un vieil homme qui n’a jamais su dire je t’aime...
J’ai souvent ri, j’ai beaucoup pleuré... Une jolie surprise à voir en ce moment sur Arte.