Ce que je pense de Tusk !
Aujourd'hui, je parle de Tusk de Kevin Smith !
C'est donc Kevin Smith à la réalisation et au scenario avec une histoire inspiré de épisode "The walrus & The Carpenter". Alors a quoi peut t'on s'attendre ? Je vais y répondre, point par point en essayent de condencé un max !
Un homme âgé kidnappe un jeune homme dans le but de procéder à la première fusion "homme-morse" de l'histoire de la science.
Avec une idée de départ aussi farfelu on pouvais se demandé, ce que Smith nous livrerait. Et bas le résulta est là ! Et verdict, pour moi, on n'est en face d'une œuvre d'auteur bien atypique, savamment mélange entre la réflexion du propos et l'idiotie du plots départ.
Déjà ça passe par l'écriture, ici on n'a un véritable scenario, conventionnel mais efficace et travaillé un minimum au niveau de la structure des dialogues, on n'aura aussi le droit à des phrases diablement bien trouvé est ce avec une ironie dramatique bien grinçante et cynique ( Le personnage de la vidéo ou le gosse ce coupe la jambe, il en sera de même pour Wallace). Ici, vous trouverais point de violence physique ou un scenario prétexte a une déferlante de sang, elle sera plus subtile et donc mental. Pourtant ça aurais pu avec un idée de Film de Torture Porn, il se permettra même de parodié un certain The Humain Centripède. Bien que les enjeux seront réduit comme la recherche du tueur, ce qui est plutôt surprennent dans ce genre d'œuvre policier ou normalement l'on mais l'accent sur la recherche et un climax cassant le rythme et le style du film passant a la comédie d'action, alors qu'on se trouvés avec un drame-romantique. Le film jongle entre tout ces genre (triller-dramatiquo-romantique), parfois avec des réussis et d'autre non, la faute a un rythme lent et ou les enjeux dramatique ne sont pas assez forte pour donner assez d'implication au téléspectateur.
Pour le reste, la réalisation est basique mais pas qu'eux, on aura des champs contre champs, quelque plan en grue et contre plongé. On notera selon moi, une très bonne utilisation du cadre avec un arrière plan toujours travaillé ou encore pour symbolisé le rapprochement entre les deux personnage l'utilisation de plan large ou il s'était chacun sur un coté (droite/gauche) du cadre et finirons sur le mémé cadre ensemble et un éclairage en scène d'intérieur toujours surexposé donnant une impression de blanc cassé et faut.
Une mise en scène véritablement réfléchis ou il a pris pas mal de recul par rapport à l'histoire de base, décident alors de caché une ironie avec les scènes et plans avec Howard, ceci se trouve desaturé est on un étalonnage avec une dominante marron; le symbolisent comme une personne douce, neutre et protecteur.
Le long-métrage n'en reste pas là et va donc sortie du carquant un peut habituel pour parlé de certaine thématique comme l'humanisation et deshumanisation, si wallace sera alors là pour démontré les bas instinct de l'homme avec sont comportement de mal dominant avec sont besoin compulsif de satisfaire ses besoins sexuel et finira soumis ironiquement. Le morse quand à lui a travers le personnage de Howard, va montré au téléspectateur qu'un animal en le sauvent, va gagné une forme de personnification humain ce qui aura par conséquence de lui donner un nom "Tusk".
On se retrouvera finalement avec deux personnages que tout oppose forment chacun un coté d'une pièce ce complètent et qui aura pour conclusion la deshumanisation de Wallace, la boucle sera alors bouclé !
Passé tout ceci, nous trouverons aussi le thème de l'amour, thème central si il l'en es, presenté comme leg-motifs de l'histoire a travers certain personnage, comme là relation très ambigu de Tusk et Howard. D'autre sous thème fessant partie des sous-intrigue comme l'infidélité, et la justice. Bien que le deuxième est pris avec un certain cynisme, par le gardian de frontière qu'il lui dira "qu'il n'y a pas de bleu sur leur drapeau" et ainsi lui dire que certaine valeur américaine ne se trouve pas ici.
Pour ce qui s'attende a voir, un jeux d'acteur un peut rabais ça ne sera pas le cas. Tout les acteurs joue bien, mes seul trois acteurs sort leur épingle du jeux.
Le personnage de Justin long, et brillamment interprété. Wallace est un véritable connard antipathique, égoïste et égocentrique qui n'arrive aucunement a ressentir une forme d'amour, que par la reconnaissance.
Michael Parks joue quand a lui sont personnage, avec grande justesse passant de la folie à un jeu d'acteur un peut plus en sobre et tout en retenue.
Johnny Deep, interprètera un détective peut énergique et pas très futé avec un jeu extravagant et attachant.
Je le conseille ! Mais si ça vous plais de ressortie le cerveau un peut secouer, avec des œuvres un peut différente de ce qu'il se fait normalement.
Sous-jacent : J'aimerai dire qu'il est ce que La Mouche et à La belle et La bête, mais en plus macabre et cynique.